Koh-Lanta: Mohamed trouve l’évacuation tempêtueuse du campement mémorable!

Cet entretien dévoile des détails cruciaux sur l’épisode de « Koh-Lanta » diffusé ce mardi sur TF1…

Le cinquième épisode de « Koh-Lanta, la revanche des 4 terres », qui a été diffusé mardi soir sur TF1, était riche en événements inattendus. Denis Brogniart a déclaré que les quatre équipes initiales, organisées selon les régions d’origine des concurrents, avaient été dissoutes. Les emblématiques tribus rouge et jaune ont été reformées, dirigées par Maxime et Naïs, qui ont chacun gagné l’épreuve initiale de l’épisode.

Peu de temps après, une violente tempête a frappé le lieu de tournage, contraignant la production à évacuer les participants et à les mettre à l’abri dans des tentes. L’équipe jaune a remporté le totem d’immunité, laissant l’équipe rouge contrainte d’éliminer un des leurs. Mohamed, le coach sportif spécialiste du parkour âgé de 30 ans, a été éliminé après que Naïs a utilisé un collier d’immunité. 20 Minutes l’a interviewé…

Aviez-vous des craintes en vous rendant au conseil ?

Non, je ne pensais pas vraiment à la possibilité d’être éliminé. Je me disais que ma performance décevante lors de l’épreuve d’immunité n’allait pas compromettre ma place dans l’aventure. J’étais plutôt confiant, croyant que les autres membres de l’équipe reconnaissaient mon apport physique essentiel pour les épreuves. Je n’avais pas non plus anticipé que Naïs utiliserait son collier d’immunité, elle a vraiment bien joué son coup.

Vous avez mentionné avoir découvert une fragilité mentale durant l’émission, pouvez-vous nous en dire plus ?

Endurer la tempête a été particulièrement éprouvant. Ce fut deux jours extrêmement difficiles. J’espérais que l’épreuve d’immunité me redonne motivation et envie de continuer, mais les choses ne se sont pas déroulées comme prévu.

Quel souvenir gardez-vous de cette tempête ?

Sur le moment, c’était très dur. Les vents forts et la pluie battante étaient impitoyables. L’évacuation du campement était nécessaire et, avec du recul, cela reste un moment mémorable et même positif.

Qu’est-ce qui a été le plus difficile pour votre moral ? La cohabitation ? La faim ? La fatigue ?

Difficile de dire précisément ce qui m’a fait fléchir. Ce qui est certain, c’est que je n’avais pas assez anticipé la rudesse des conditions de vie et de survie sur le camp. Sur le plan physique, j’étais prêt grâce à ma pratique du parkour. Le plus dur a été de gérer l’impact de la météo sur mon moral. La vie en communauté n’était pas un problème car nous étions tous dans la même situation et je gérais aussi la faim du mieux que je pouvais.

Si vous aviez la possibilité de revenir en arrière, que feriez-vous différemment ?

Je ne changerais pas grand-chose à l’aventure elle-même. Cependant, je retournerais avant le départ pour mieux me préparer. J’avais participé à la cérémonie de clôture des JO de Paris en tant que l’un des performeurs en blanc lors du spectacle du « golden voyager ».

Le 11 août, j’étais au Stade de France, et le 12, je m’envolais pour les Philippines pour le tournage de « Koh-Lanta ». La transition fut trop brusque.